ecolologique

Le journal d'une écologie logique

mardi 5 octobre 2010

Compensation carbone


Il faudrait plutôt parler de captation.
Un arbre absorbe environ 5kg de CO2 par an pour sa croissance.
2 tonnes d’équivalent carbone, soit quasiment l’émission annuelle
moyenne d’un Français, ou bien :
· L’achat de 87.300 kWh d’électricité en France (12.600 en Grande Bretagne).
· La combustion de 2.700 litres d’essence.
· 15.000 km en voiture moyen/haut de gamme en cycle urbain réel62.
· 30.000 km en avion (soit 2 allers retour Paris New-york),
· 870.000 km en train en France (87.000 km en Grande Bretagne)
· la production de 250 kg de boeuf,
· la production de 700 kg d’aluminium neuf en Europe (moins aux USA),
· 2 ans de fuites du système d’air conditionné dans un immeuble de bureaux de taille
moyenne.

pour absorber ces 2 tonnes, il faudrait environ 400 arbres, une forêt entière !!!

On se rend bien compte de la limite du développement durable et du danger de l'urbanisation.

il est donc nécessaire que toutes les activités puissent faire un bilan carbone pour estimer les gains à réaliser et les "compensations" à mettre en place.

jeudi 3 juin 2010

LIGUE ANTI-BETON




Une question simple :
l'urbanisation, les infrastructures routières, les zone commerciales, les zones d'activités ne font que croitre sans cesse.
On ne revient jamais à l'état naturel.
Pourquoi les lotissements sont de plus en plus nombreux alors que la population n'augmente que très peu ??
Pourquoi les zones d'activités se développent alors que le pays est en récession ?
Il faudrait essayer de rénover plutôt que de construire, ne pas hésiter à détruire ce qui reste invendu ou sans location :
-des bureaux entiers neufs sont inoccupés !
-des usines et des locaux commerciaux restent à louer depuis des années !

On construit sans cesse de nouvelles routes, de nouvelles rocades, de nouveaux ronds-points.
Plutôt que de construire des déviations et des contournements il vaudrait mieux déplacer les routes, modifier leur tracé.

C'est en grande partie la faute des municipalités dont le principal souci est d'urbaniser la commune, de vendre ses terrains à des lotisseurs, de construire un maximum de rond points.
On ne peut pas rentrer dans une petite ville sans voir un immonde rond point avec une immonde sculpture et un immonde panneaux donnant toutes les dates de la fête de la nouille locale.

Il vaudrait mieux donner une prime aux communes qui préservent les espaces verts.
Au lieu de mettre en avant les pots de fleurs de la ville la plus fleurie, il voudrait mettre en avant la ville la plus verte.

mercredi 14 octobre 2009

Les déchets nucléaires dangereux


Que fait-on pour recycler les déchets nucléaires dangereux ?

• Les déchets à vie longue et/ou de haute activité (10 % du volume total des déchets nucléaires). Leur décroissance radioactive s’étend sur plusieurs milliers voire centaines de milliers d’années. Ils sont coulés dans du bitume ou du verre. En France, leur devenir fait l’objet d’une loi votée en 1991. L’une des options envisagées est le stockage en formation géologique profonde. Elle sera étudiée grâce à la réalisation de deux laboratoires souterrains. Les autres options sont leur transformation, en réacteur nucléaire, en déchets radioactifs à vie plus courte (cette opération s’appelle la transmutation), mais également l’étude des procédés de conditionnement et l’entreposage de longue durée en surface ou en subsurface (à quelques dizaines de mètres sous terre). En attendant une décision finale, ils sont entreposés en surface à La Hague et à Marcoule.

vendredi 4 septembre 2009

Le danger du nucléaire

Le danger réel des centrales nucléaires en plus du risque de catastrophe vient du taux de radioactivité augmentant par micro-pollution dans l'environnement.
Les rejets principaux concernent le tritium, dont la période de demi-vie est de 12,34 ans. Cette durée est courte par rapport aux autres éléments radioactifs.
Cependant il restera encore 6% de radioactivité au bout de 50 ans.
En théorie, la radioactivité ne disparait jamais complètement, elle diminue jusqu'à devenir négligeable mais ne devient jamais nulle !
Il va donc se produire autour d'une centrale nucléaire un phénomène d'accumulation du à toutes les fuites petites ou grosses vécues au cours de la vie de la centrale.
Avec la multiplication des centrales sur notre territoire, c'est tout notre environnement qui risque de garder la trace de l'activité nucléaire par accumulation de petites doses, jusqu'à un empoisonnement généralisé propagé par la chaîne alimentaire naturelle.

Mais dans les centrales nucléaires il n'y a pas que du tritium, dans le sarcophage de Tchernobyl il y a du plutonium très dangereux :
le plutonium 238 est très radioactif et sa 1/2 vie est de 86 ans et du plutonium 239 moins radioactif mais avec une durée de vie de 24000 ans, c'est à dire que la radioactivité ne disparaîtra jamais, c'est un héritage infini.

Il faut donc limiter au maximum l'utilisation de centrales nucléaires, car plus leur nombre sera important plus le risque d'accident ou d'incident sera grand, et l'accumulation d'incidents peut entrainer une dose de radioactivité aussi dangereuse qu'un accident.

La voiture hybride

Le tout électrique nécessite l'utilisation de nombreuses batteries, pleines de composants chimiques polluants et rares et dont le recyclage est délicat.
D'autant que la durée de vie d'une batterie est faible.
On ne fait que déplacer le problème de la production de pétrole.
De plus, une augmentation de la production électrique nécessitera l'utilisation de centrales : nucléaires à charbon ou pétrole qui présentent toutes un danger pour l'environnement.

L'idéal pour le moment avant d'avoir une production électrique propre, c'est l'utilisation de véhicules hybrides :
C'est dans les phases d'accélération et au démarrages que le moteur thermique pollue le plus : feu rouge, stop, accélération en sortie de zones à vitesse limité (agglomérations, virages..).
Le moteur électrique doit être activé pour gérer les accélérations et le moteur thermique mis en veille.
Un moteur électrique a suffisamment de couple pour permettre un démarrage efficace d'une voiture. Mais l'accélération sera cependant limitée pour économiser la charge des batteries, car plus le couple demandé est important, plus l'appel de courant est fort, et donc la décharge de la batterie augmenterait vite.
Le moteur thermique ne serait activé qu'une fois la vitesse stabilisée, c'est dans ces moments que la pollution et la consommation sont faibles.
Cela permettra aussi de recharger un peu les batteries si besoin.
Dans toutes les phases de freinage, le moteur fonctionnera en générateur pour recharger les batteries.

On peut noter aussi le projet de roue active développé par Michelin : le moteur de traction et la suspension sont intégrés dans la roue.

mercredi 8 juillet 2009

Le progrès technique

L'homme est attiré par le progrès technique de manière instinctive.
Peut-on peut voir cette attirance comme un instinct de survie de espèce humaine ?
Le progrès est aussi utilisé pour concevoir des armes de destruction, mais ce n'est heureusement pas le but principal, juste une dérive..
L'instinct pousse une espèce à améliorer ses conditions de vie mais aussi à se développer, pas à se détruire.
Alors à quoi peut nous servir notre instinct du progrès ?
L'homme ne peut par son hérédité seule sauvegarder cet ensemble de connaissances que nous avons construit au cours des millénaires de technologie, c'est la machine qui est la mémoire des connaissances, notre cerveau, notre intelligence sont limités. Pas la machine !
Mais la machine n'est pas simplement une mémoire :
Stocker des connaissances n'est pas suffisant, il faut savoir les utiliser, les mélanger, les lier, pour arriver à créer quelque chose de nouveau, c'est le progrès..
Pour arriver au progrès des temps modernes, aucun cerveau humain n'est plus capable seul de réaliser les liens nécessaires entre les connaissances, c'est la machine qui le permet, l'homme n'est là que pour regarder et valider le résultat.
Notre hérédité est enregistrée dans les machines : les ordinateurs qui stockent et traitent, internet qui fait circuler en boucle infini les connaissances, les mémoires de stockage, les micro-contrôleurs, les circuits intégrés... et c'est le traitement de ces informations qui permet le progrès.
Utilise-t-on moins notre cerveau ? avons-nous moins d'acquis ?
Au final le progrès comme un instinct incontrôlable est-il en train de tuer l'homme par une décroissance de son intelligence ?
Si le progrès technologique est un instinct propre à l'homme, c'est lui qui doit le mener à la survie de l'espèce, et pas engendrer à sa perte.
Le progrès est là pour permettre aux hommes de se développer, mais notre environnement est limité, trop petit, la nature ne peut plus nous nourrir..
Il y a donc 2 voies possibles :
-> la 1ère voie est un progrès maitrisé, permettant à l'homme de contrôler son environnement, vivre en harmonie avec la nature malgré une population toujours plus grande.
Si on regarde bien notre instinct ne nous guide pas dans cette voie, d'instinct on se dirige vers l'abondance technologique sans se soucier des dégradations sur l'environnement.
-> la 2ème voie est un progrès en extension :
avec comme 1ère phase une extension de notre territoire de vie, la surface de la terre est presque entièrement exploitée, les ressources des pôles, de la mer, des forêts.. c'est le progrès qui permet d'exploiter toutes les ressources de la terre pour permettre l'extension de l'homme. La terre est limité, alors le progrès nous guide vers l'exploitation des planètes, les voyages inter-stellaires permettront à l'homme une 2ème phase d'expansion.
Depuis des siècles, le progrès nous guide vers l'espace de façon instinctive, le progrès est peut-être un instinct de l'homme pour arriver aux voyages inter-stellaires, vers une expansion sans limite.
Tant pis pour la terre si les ressources peuvent être trouvées ailleurs..

Il y a cependant une 3ème voie, une quêtes des ressources extra-terrestres tout en préservant la terre et sa nature, importation de ressources et exportation de déchets.

Mais le risque d'emballement technologique existe, le progrès matériel progresse trop vite par rapport à la connaissance, et la 2ème phase d'expansion ne verra pas la jour, ou alors viendra après une étape de traumatismes (guerres, crises, émeutes). Pour éviter cela il est alors nécessaire de contrôler la 1ère phase pour limiter l'impact du progrès sur l'environnement terrestre, pour arriver à la connaissance nécessaire aux voyages inter-stellaires.

mercredi 10 décembre 2008

Le green business


Le vert fait vendre !
l'écologie est maintenant un business, un argument commercial, la meilleur façon de gagner de l'argent.




On souhaite la bienvenue à l'écologie dans l'univers matérialiste dans lequel nous vivons, au lieu de respecter la nature on va l'exploiter pour le profit, le green business c'est quoi ?
changer toutes nos vieilles voitures grâce au bonus écologique, changer tous nos appareils électroménagers pour des produits neufs plus respectueux de l'environnement, installer des capteurs solaires partout, changer le mode de chauffage de nos maisons, changer tout notre éclairage... le plus rapidement possible car la vie de la planète en dépend..
en un mot relancer la consommation au plus vite pour relancer l'économie.
A l'échelle d'un mandat politique les conséquences écologiques ne sont pas visibles (enfin pas encore), la vision politique se limite à 5 ou 10 ans pas plus, c'est mal vu de le dire mais la nature on s'en fout.
Le green business peux redonner des couleurs à l'économie quelque temps mais c'est très mal engagé pour notre environnement..
Nous n'avons pas les moyens de nos ambitions : la mondialisation, le développement "durable", les flux de matières premières et produits industrialisés participent à l'épuisement de notre environnement, de nos ressources, de notre savoir-faire, une réduction de l'industrialisation, une consommation locale et raisonnée sont les seules solutions.
Tout le monde partage cette idée maintenant, le rajeunissement de notre classe politique est bien le signe de cette prise de conscience : des dirigeants avec une vision d'avenir plus humaine, l'expérience n'est plus un atout, c'est un handicap..

mercredi 19 novembre 2008

La tour solaire


La tour solaire installée dans une zone très chaude (désert) se présente comme une serre qui chauffe l'air au sol et une cheminée qui permet de faire monter l'air chaud tout en l'accélérant par effet venturi.
A la base de la tour on met des turbines qui produisent de l'électricité.
C'est simple mécaniquement et efficace.
Il n'y a pas de composant polluants comme dans les cellules solaires, et la durée de vie est plus longue.
Le principe fonctionne aussi la nuit grâce à l'accumulation de chaleur du sol (on peut même chauffer un système additif de réservoirs d'eau).
Par contre le système coûte très cher (tour en matériaux composites pouvant atteindre 1km de hauteur).
Et il faut de la place au sol.

dimanche 12 octobre 2008

Les emballages


Nous sommes de plus en plus nombreux à recycler nos déchets : le verre, le papier et certains emballages. On fait tout ce qu'on peut, mais d'un autre côté lorsqu'on achète un stylo en supermarché il y a un blister plastique qui ne se recycle pas. Lorsqu'on achète un jouet on met souvent dix minutes à le déballer pour nos enfants... du carton, mais aussi pas mal de plastique, des fils de fer...

C'est une démarche commerciale. Les gens achètent sûrement plus facilement un jouet bien emballé, avec des photos attractives, qu'un jouet en vrac. Pourtant certaines marques assez connues arrivent à vendre des jouets sans emballage, comme les dragons que j'ai achetés pour mes fils cette semaine. C'est donc possible à réaliser, mais c'est sûr aussi que peu de parents renonceront à l'achat d'un jouet juste parce que l'emballage est non-écologique.

Si les consommateurs continuent à acheter ces jouets, si les fabricants continuent à produire ce genre d'emballages pour mieux vendre, peut-être qu'une réglementation devrait arriver de plus haut.
Et je n'aurais plus l'impression de tuer la planète encore plus chaque lendemain de noël en sortant les poubelles.

mercredi 8 octobre 2008

Crise capitaliste de surproduction


Les groupes industriels se sont mondialisés en détruisant ou rachetant les concurents directs, pour une rentabilité accrue, les usines ferment les unes après les autres dans les pays industrialisés. La mondialisation de l'économie aboutit à la concentration des outils de production en Chine ou en Inde.
Les grands groupes réalisent des profits de plus en plus importants avec des salaires de plus en plus faibles, combien de fois avons-nous entendu cette phrase lorsqu'un groupe ferme une usine qui faisait pourtant des bénéfices mais pas assez : "c'est nécessaire pour survivre face à la concurrence de plus en plus puissante", la productivité augmente à grand coups de publicité et de marketing pour produire un besoin d'achat auprès des petits consommateurs. Il y a en même temps une énorme pression sur les salaires : baisses de salaires ou délocalisations, travailler plus, ne pas gagner plus.
Les banques et les grands groupes financiers participent, amplifient ce mouvement en proposant une vie à crédit aux consommateurs.
Mais ce capitalisme qui concentre les richesses, au final n'aura qu'un but possible : l'appauvrissement des petits consommateurs au profit des grands groupes industriels et financiers qui vont réaliser des millards de bénéfices et spéculer au lieu d'investir et de redistribuer, mais les richesses ne circulent plus, les profits s'accumulent dans les caisses des grands groupes, sans redistribution des bénéfices à tous les maillons de la chaîne, le système n'a plus de dynamisme.
Le consommateur maillon principal du capitalisme, n'a plus les ressources nécessaires pour entretenir le système. Alors même qu'il vit dans un confort de plus en plus grand, il vit au dessus de ses moyens, il se retrouve appauvri par un surendettement croissant pour au final ne plus pouvoir se loger ni acheter tous ces beaux produits fruits de ce système de surproduction concentré : automobiles, électroménager, et produits de consommation courante. Grêves, chômage, faillites s'enchaînent en cascade, puis le système s'effondre avec crise boursière, crise immobilière, crises politiques.. c'est la crise du capitalisme sauvage sans contrôle, on l'a connue en 29, et on revit la même chose de nos jours, tout le monde l'avait prévue, personne n'a rien fait..

Le consommateur n'est pas responsable, les dirigeants politiques accèdent aux plus hautes fonction avec l'appui financier des plus grands groupes industriels, avec l'aide des publicitaires et des médias les plus puissants, ils participent au système. On peut le voir de façon évidente aux Etats-Unis, avec des campagnes électorales aux budgets énormes les politiques doivent trouver des fonds privés, un peu moins visible en Europe c'est toutefois tout aussi vrai : il faut l'aide des médias détenus par les grands groupes industriels ou financés par leur publicité.

Pour faire face à cette crise les groupes fusionnent pour être plus forts alors que les plus petites structures disparaissent, ce n'est pas une solution d'avenir la circulation des richesses ne va pas s'améliorer.
C'est l'inverse qu'il faut faire : limiter l'expansion et la taille des groupes industriels et financiers pour laisser la place aux petites structures locales, retrouver une concurrence réelle et réadapter l'offre à la demande, ne pas imposer de produit en décallage par rapport aux besoins et au pouvoir d'achat pour limiter l'endettement.

mardi 9 septembre 2008

L'agriculture

Les pays développés dépensent des fortunes dans la recherche agricole pour proposer des variétés de blé ou de maïs qui peuvent s'adapter à tous les climats, sur le modèle de la culture intensive de l'europe ou de l'amérique du nord en vue de nourrir la population mondiale croissante. Pourquoi développer la culture du maïs dans un pays africain sec, alors que d'autres céréales plus traditionnelles sont mieux adaptées. De même pour les cultures en terrasses des plantes qui demandent de grandes quantités d'eau. La recherche génétique devrait s'appuyer sur les agricultures locales dont les évolutions se sont faites naturellement depuis des millénaires, ne pas imposer un produit unique génétiquement modifié pour résister au manque d'eau de certains pays. C'est aussi dans la diversité que l'agriculture permettra la survie des millions de personnes qui vivent dans une extrême précarité.
Il faudrait limiter la recherche à but lucratif, utiliser nos énergies pour améliorer le bien-vivre, comprendre la nature, s'y adapter et non l'inverse.

Pour commencer

une modification soft de nos comportements pour nous préparer à l'avenir :
-Un peu de simplicité volontaire : on peut très bien se passer de télé et écouter de la musique ou la radio, ne pas voyager en avion mais prendre le train, éviter de changer de téléphone portable ou d'ordinateur tous les ans, essayer de réparer les pannes plutôt que de remplacer l'appareil, diminuer ses déchets et sa consommation en électricité en installant un chauffage moderne au bois, ne prendre sa voiture qu'en cas de nécessité, ne pas éduquer ses enfants avec les derniers gadgets à la mode c'est aussi les préparer.
-Diminuer les flux de marchandises et la mondialisation de l'économie : le transport par rail n'étant toujours pas la priorité des gouvernements (on préfère aider les routiers à payer leur facture de gasoil, améliorer le réseau routier et fermer les lignes féroviaires pas assez rentables), il faut essayer de consommer un maximum de produits locaux, essayer de retrouver une agriculture et une économie locale. La mondialisation de l'économie n'est viable que si on repense les transports.
-Il faudrait peut-être calculer le prix de vente d'un produit en fonction de son impact sur l'environnement, il n'est pas normal que des céréales produites à grand coup de pesticides en amérique du sud reviennent moins cher que celles qui sont produites localement !
-Diminuer l'utilisation de pesticides, consommer des produits bio, éviter les cultures comme le maïs qui consomment trop d'eau, l'agriculture doit s'adapter au climat. Manger des produits de saison.

mercredi 3 septembre 2008

La Simplicité Volontaire

Par une prise de conscience de l'effet destructeur de notre industrialisation à outrance, on réduit de façon individuelle et volontaire la mécanisation et les produits manufacturés de notre vie quotidienne : on supprime la télé, le frigo, les voyages en avion, la voiture.. moins d'objets, plus d'amis.
L'idée est de diminuer cette course à l'argent pour consommer moins, donc gagner moins pour vivre mieux.
Concept qui à défaut de sauver le monde, peut rassurer notre conscience et nous préparer à la décroissance.
Le terme Simplicité Volontaire a lui aussi une connotation très négative, c'est dommage, il faudrait peut-être un jour pouvoir présenter tout cela de façon positive.
D'autant qu'une vie plus matérielle que spirituelle comporte au contraire plus de simplicité, c'est la solution de facilité

mardi 2 septembre 2008

La décroissance

Ce terme provocateur, peut être mal choisi, désigne une volonté de limiter nos besoins en produits industriels et en pétrole, en repensant l'économie qui dicte nos habitudes de consommation.
Plus que de la décroissance, on peut parler d'une croissance humaniste, qui reviendrait à remplacer nos besoins artificiellement créés par la publicité, par des besoins basés sur le plaisir de la nature et des rapports humains.
Un exemple de ce que l'on peut appeler Décroissance : remplacer la télévision les baladeurs et autres iphones par les spectacles vivants, concerts, théatre, rencontres... le plaisir sera toujours là, il ne faut donc pas voir l'aspect négatif du mot décroissance.
Un autre exemple : avec des infrastructures routières adaptées il est très agréable de pouvoir prendre son vélo à la place de la voiture :
















Pour mettre en place une nouvelle économie ainsi qu'une nouvelle politique, basées sur les rapports humains, le bien-vivre et la nature, un travail de recherche et de développement important devra être fait, on peut alors parler d'une nouvelle direction à notre croissance. Pour que la terre puisse accueillir confortablement 8 ou 9 millards d'habitants. Ce n'est pas un défit, c'est une nécessité, on peut parler de croissance humaine ou humaniste.
Décroissance matérielle mais croissance spirituelle.
Mais avant d'arriver à cette nouvelle croissance, une période de recession, de guerres, de catastrophes climatiques et économiques rique bien d'être le passage obligé.

lundi 1 septembre 2008

Compensation carbone

On peut compenser nos rejets de CO2 de la vie courante (maison, transports...) en aidant des projets de reboisement.
Par exemple sur le site :
http://www.actioncarbone.org

on calcule nos dépenses carbone, il suffit ensuite de donner de l'argent à une ONG pour arranger ça :














Il faudrait 6 planètes pour supporter cette émission de CO2 ! mais pas de souci il suffit de payer 233€ !
Il est ridicule de penser qu'il suffit de donner de l'argent à une ONG pour régler le problème. Il faut avant tout le traiter à la source, c'est à dire diminuer les rejets de CO2, et ce n'est pas une ONG qui peut en avoir les moyens.
Ce n'est pas à un citoyen de payer pour son équilibre carbone (que l'on n'obtiendra jamais si on ne change rien), ce n'est pas à une ONG de disculper son gouvernement.
Les pays les plus riches et les plus industrialisés sont aussi les plus pollueurs, chaque pays devrait essayer d'arriver à trouver un équilibre carbone en développant des énergies propres et en reboisant son territoire, à limiter l'importation et la fabrication de produits trop polluants, pour enfin trouver un nouveau type de croissance.
Si ce n'est pas le cas alors il serait logique qu'il paye une taxe sous forme d'aide aux programmes de reboisement de développement durable et de recherche, à une échelle mondiale. Pour faire en sorte que la mondialisation ne soit pas synonyme d'industrialisation à outrance, mais de protection de l'environnement.

lundi 28 juillet 2008

Micro pile à combustible




L'électronique est maintenant portable :
PC, téléphones, balladeurs...

Pour remplacer les accumulateur utilisés des recherches sont en cours pour proposer des micro piles à combustibles. Avec des performances améliorées et bien plus écologiques, ces nouveaux accumulateurs risquent de voir le jour :
la recharge peut se faire de la même façon qu'un briquet à gaz avec une petite cartouche à méthanol ou hydrogène. Il est temps de se pencher sur la production de masse d'hydrogène.


jeudi 24 juillet 2008

Diminuer le taux de CO2
















Les plantes consomment du CO2 la journée, c'est la photosynthèse, elles rejettent un peu de CO2 la nuit.
Le bilan est positif, si la plante pousse c'est qu'elle absorbe plus de CO2 qu'elle n'en rejette, car elle constitue sa structure avec le carbone qu'elle produit à partir du CO2 par la photosynthése.
On peut parler de moteur propres, d'industrie propre, mais parlons de déforestation ou plutôt de reboisement :
- reboisement de l'afrique
- reboisement de l'amérique du sud
...
en plus d'apporter une solution aux problèmes de l'environement le reboisement de l'afrique peut lutter contre la désertification de son territoire : on parle de la grande muraille verte (Gmv) : un tracé végetal devant relier Dakar à Djibouti sur 7000km de long et 15km de large.

La pile à combustible à Hydrogène



On réalise une pile électrique en injectant de l'hydrogène sur l'anode et de l'air à la cathode, l'oxydation de l'hydrogène fourni des électrons et donc un courant électrique, on obtient ainsi presque 1V de différence de potentiel entre les électrodes.
Anode : H2 -> 2H+ + 2e-
Cathode : O2 + 4H+ + 4e- -> 2H2O
On ne produit donc que de l'eau !
La mise en série des éléments permet de réaliser une alimentation pour un moteur électrique.

Le problème vient de la production d'hydrogène :
- L'hydrogène n'existe pas à l'état naturel , il faut donc le produire, ceci à partir : de l'eau, des hydrocarbures ou de la biomasse.
- L'hydrogène est déjà utilisé dans l'industrie, mais si l'on souhaite remplacer complètement le pétrole par l'hydrogène il faudra augmenter énormément la production.
- Actuellement la production d'hydrogène est réalisée à partir des combustibles fossiles (gaz naturel en général), mais en même temps on libère du CO2 et les combustibles fossiles sont de plus en plus rares.
- Comme nous l'avons vu plus bas, la production d'hydrogène à partir de l'eau demande de l'énergie. De plus le rendement est mauvais, et la production coûte cher.
Pour améliorer le rendement on peut réaliser l'électrolyse à haute température. On peut aussi décomposer la molécule d'eau dans un réacteur solaire à très haute température, ces procédés sont encore à l'étude...
- La biomasse peut être utilisée pour la production d'hydrogène :
la décomposition naturelle des végétaux fournie du carbone, de l'hydrogène et du méthane (gaz naturel) CH4, le CO2 généré est absorbé par les plantes lors de leur croissance.

Si l'hydrogène devient le carburant principal de nos activités, il sera nécessaire de diversifier sa production, en utilisant des moyens respectant l'équilibre écologique de notre planète : solaire, éolien, biomasse.
L'énergie nucléaire ne devrait pas être envisagée.

vendredi 15 février 2008

Stockage de l'énergie sous la forme d'air comprimé


Lors de la détente de l'air comprimé pour faire tourner la turbine, l'air se refroidi de façon importante, afin de ne pas geler toutes les conduites il est nécessaire de chauffer l'air avant sa détente.
Lors de la compression de l'air c'est l'inverse, cela dégage beaucoup de chaleur, on peut donc stocker cette chaleur pour ensuite réchauffer l'air avant sa détente :

Le principe des centrales de stockage de l'énergie par air comprimé n'est pas nouveau. Il s'agit d'une centrale à gaz modifiée, capable d'emmagasiner temporairement l'énergie sous forme d'air comprimé par injection, dans des réservoirs souterrains de formations géologiques diverses (sel, roche, aquifère). L'énergie est restituée lors des périodes de forte ou moyenne demande. L'innovation technique du projet de EnBW consiste à récupérer la chaleur résultant de la compression de l'air en vue d'améliorer le rendement de l'installation : "le compresseur n'est pas refroidi et la chaleur de l'air comprimé est stockée dans un accumulateur de chaleur", explique le directeur de projet Joachim Manns. Plus précisément, l'air comprimé, chaud, est conduit vers le récupérateur, où il cède sa chaleur avant d'être temporairement stocké à faible température dans une caverne souterraine. Plus tard, l'air froid stocké est réacheminé vers le récupérateur de chaleur où sa température est ramenée à celle de la turbine. Cette technique efficace de réchauffement permet d'éviter le recours à une source extérieure d'énergie comme c'est le cas aujourd'hui (chauffage au gaz naturel).

C'est un sytème assez efficace mais lourd et coûteux.

Cela ne peut pour le moment être mis en place que pour une grosse installation : centrale électrique, centrale éolienne...

Electrolyse de l'eau

1 litre d'eau peut produire 2kWh délectricité avec une pile à combusitble de rendement 45%
rendement d'un électrolyseur : 5kWh / Nm3 de H² et il faut 1 litre d'eau par Nm3 de H² produit
avec 5kWh d'électricité on produit 2kWh d'électricté à partir de l'hydrogène stocké (rendement total de l'ordre de 40%).
pour améliorer la conductivité de l'eau et le rendement de la réaction, on rajoute de l'hydroxyde de sodium NaOH (ou soude caustique) . On utilise des électrodes en fer ou en inox.


A l'anode : 2OH- --> H2O + 2e- + 0.5 O2
A la cathode : 2H2O + 2e- --> 2OH- + H2


L'électrolyse de l'eau utilise donc de la soude caustique, mais en théorie sans en consommer.
La soude caustique est obtenu à l'échelle industrielle par électrolyse du chlorure de sodium (sel naturel), cette réaction consomme de l'énergie et produit du chlore, mais elle produit aussi de l'hydrogène.
Il faut environ 2500 kWh/t de NaOH produit.

2NaCl + 2H2O --> Cl2 + H2 + 2NaOH

vendredi 1 février 2008

Stockage de l'électricité sans batterie


Le stockage de l'électricté dans des batteries n'est pas très écologique et la durée de vie des batterie est assez faible.
Pour une éolienne individuelle, il est intéressant de pouvoir stocker l'énergie produite lorsque la consommation d'électricité de la maison est faible (la nuit ou lorsque la maison n'est pas occupée).
On peut utiliser l'électricité de l'éolienne pour réaliser une électrolyse de l'eau (récupération de l'eau de pluie par exemple) et stocker de l'hydrogène qui peut être utilisé pour le chauffage de l'habitation, pour la cuisine, ou même comme pile à combustible pour fournir de l'électricité en cas de vent faible.
Le rendement de l'énergie éolienne se trouve ainsi amélioré, mais le coût de revient de l'installation est aussi fortement augmenté.

Autre piste le stockage de l'énergie sous forme d'air comprimé.

vendredi 30 novembre 2007

Player RADIOBLAGON

mercredi 28 novembre 2007

Conclusion

Les énergies alternatives individuelles restent pour le moment très difficilement rentables.
C'est aussi un investissement important.
Lorsque l'on peut se permettre d'investir plus de 10 000 € dans l'installation d'une source d'énergie alternative, est-ce qu'on le fait plus par conviction que pour se donner bonne conscience de rouler avec un gros véhicule 4x4 ?
Ne vaut-il pas mieux investir dans un bon poêle à bois (environ 1000€ tout de même), faire attention à sa consommation d'énergie au jour le jour, et utiliser un petit véhicule peu poluant et consommant peu pour les trajets de tous les jours ?

Eolienne individuelle




L'éolienne de diamètre 1m15 coûte 800€.
Avec un vent moyen de 5m/s l'éolienne produit 38kW/h par mois, le régulateur pour la charge des batteries est intégré.
Si on revend l'électricité, elle est amortie au bout de 5 ans, si on consomme l'électricité, il faudra 17 ans pour l'amortir autant dire que d'ici là l'éolienne risque bien d'être un peu usée !!

Le chauffe-eau solaire individuel CESI






Il est nécessaire d'avoir un chauffage d'appoint pour le balon d'eau chaude (électrique ou une chaudière gaz ou fioul)


Il est constitué d'un serpentin noir contenant de l'eau qui chauffe au soleil derrière une vitre (effet de serre).

Le coût moyen d'un chauffe-eau solaire installé est de 6000€, avec les aides le coût est réduit à 3000€ ce qui reste très cher. Il faudra au moins 10 ans pour rentabiliser l'installation sachant que la durée de vie d'un chauffe-eau solaire ne sera pas vraiment plus longue que celle d'un chauffe-eau électrique (environ 15 ans) la rentabilité n'est pas évidente.

L'énergie électrique solaire

















Données :
-La durée de vie des cellules photovoltaïques est d'environ 25 ans.
-La production d'énergie est de : 125kWh par an au m², soit 14Wh au m² (100W crête)
-Liens :
http://re.jrc.ec.europa.eu/pvgis/apps/pvest.php?lang=en&map=europe
http://www.cipcsp.com/tutorial/dimensionnement-solaire.html
-Prix d'un panneau solaire : environ 7000€pour 10m²
Composants :
-panneaux solaires
-batteries
-un régulateur de charge des bateries
-un convertisseur CD/AC (onduleur)

-prix d'achat du kWh par EDF :
0,55€ si l'installation est intégrée au bâti
0,31€ pour une installation rajoutée

les batteries ne sont pas utiles si l'on ne fait que revendre l'électricité à l'EDF, car dans ce cas il n'est pas necessaire de stocker l'énergie.

Pour l'exemple de 10m²
Le prix de l'installation sera d'environ 10 000 €.
La production sera de 1250kWh/an si on revend à 0,31€ cela donne 387€ par an, il faudra donc 25 ans pour rentabiliser l'installation c'est la durée de vie du panneau !!!
Donc sans les aides à l'installation l'énergie solaire n'est pas rentable, elle le devient grâce au crédit d'impôt de 50% accordé par l'état, mais il faut plus de 10 ans avant de commencer à gagner de l'argent.
Si on produit de l'électricité pour la consommer, l'installation ne sera jamais rentabilisée !!

Un autre point important concerne le recyclage des panneaux solaires usagés qui contiennent de nombreux produits toxiques pour l'environnement.

mardi 13 novembre 2007

L'énergie que nous dépensons

- La consommation électrique moyenne d'un ménage est de 4GW/h par an.
- si l'on suppose qu'un ménage parcours en moyenne 20000km par an à la moyenne de 60km/h cela donne 333h de roulage.
- actuellement avec un moteur , la puissance consommée moyenne sera de l'ordre de 20kW, ce qui donne une consommation énergétique de 7MW/h par an.
- avec une voiture électrique on peut réduire la puissance à 7kW à 60km/h cela donne une énergie consommée de 2,5MW/h par an.

On parle beaucoup de polution due aux automobiles, mais la dépense énergétique due aux transports n'est que de 0,1% de la dépense totale d'énergie d'un ménage !
Avec un mode de transport tout électrique cette consommation devriendra négligeable.
On compte en France 60 000 ménages, la consommation électrique par an est de :
- 240 000GW/h pour l'électricité domestique
- 138GW/h pour le transport électrique
pour une éolienne de 600kW fonctionnant à 10h par jour, cela donne pour un an : 2,2GW/h
il faudrait donc 100 000 éoliennes pour subvenir à la consommation domestique en France.
et 62 éolienne pour le transport !

l'énergie électrique ne pouvant être stockée, il faut dimensionner le réseau éolien pour pouvoir alimenter les pics de consommation de la journée.

lundi 12 novembre 2007

Les véhicules de demain

une approche du calcul de la consommation électrique d'un véhicule :
http://sfp.in2p3.fr/Debat/debat_energie/websfp/Livet-elect.htm

données :
-puissance d'une éolienne de diam. 70m : 1,5MW
-puissance d'une éolienne de diam. 46m : 600kW
-nombre moyen de camions par jour sur une portion d'autoroute : 4317
-coût d'installation d'une éolienne : environ 1€/W
-consommation d'un TGV : environ 9MW/h
-prix du kW/h : 0,109€
-puissance d'une centrale nucléaire : entre 1 et 1,5GW
-consommation moyenne électrique d'une voiture sur une autoroute : 20kW/h (15kW pour une petite voiture)
-consommation moyenne électrique d'un camion sur une autoroute : 100kW/h pour 110km/h et 50kw/h pour 80km/h alimenté par moteurs synchrones.



sur l'autoroute Bordeaux-Paris soit 500km, on peut estimer le trafic moyen à 40 000 véhicules / jour dont 6400 camions, ce qui donne une densité de 1666 véhicules / heure à un point donnée avec une moyenne de 120km/h cela donne une densité de 13,8 véhicules / km
donc sur les 500km, il y roule 6900 véhicules en même temps donc 1100 camions.

si on ne tient compte que des camions, la consommation électrique équivalente d'un camion roulant à 110km/h est estimée à 100kW.
cela donne une cosommation de 1100x100 = 110 MW pour les camions pour toute l'autoroute Bordeaux-Paris. c'est 1/10 de la consommation d'une centrale nucléaire ! et 183 éoliennes de 46m (1 tous les 2,7 km) ou 73 éoliennes de 70m (1 tous les 6,8km) !!

à vitesse réduite à 80km/h en charge, le camion ne consommera que 50kw, cela donne une consommation de 55MW pour tous les camions en même temps sur l'autoroute.
C'est 1/20 de la puissance d'une centrale nucléaire, c'est 90 éoliennes de 46m (1 tous les 5km) ou 36 éoliennes de 70m (1 tous les 14km) c'est beaucoup plus raisonnable.

le coût de revient :
un camion qui consomme 35l/100km avec un gasoil à 1,2€ dépensera 210€ pour les 500km d'autoroute.
En consommant 50kw/h et en roulant à 80km/h le camion roulera 6,25h et consommera 312kW/h pour le trajet ce qui donne une dépense de 312x0,109 = 34€.
Le budget gasoil par mois pour le camion est de 210x20=4200€, il passerait à 34x20=680€, la différence est énorme !!

avec 1€ par W le coût de revient de l'installation des éoliennes sera de 55M€.
Si on ajoute l'estimation du coût d'installation à 100M€ pour réaliser les modification sur la voie.
Sans compter les recettes des péages qui sont nécessaires pour l'entretien des voies,
avec une consommation des camions sur l'autoroute de 55MW/h cela donne 6000€ de recettes en 1h, pour atteindre les 155M€ il faudra environ 25000h de recettes pour rentabiliser l'installation, ce qui donne environ 3 ans !! Tout le monde est gagnant.

dimanche 4 novembre 2007

Dans les entreprises

C'est bien de culpabiliser les individus et les ménages, mais pour la plupart, nous passons la majorité de notre temps actif au bureau, en entreprise.
Dans des pièces sur-chauffées l'hiver et glaciales l'été, sans aucune économie de lumière, sans soucis de recyclage, papiers, canettes...
Est-il impensable de mettre en place quelques procédures simples que toutes les entreprises devraient respecter ? un audit, non payant, avec primes à la réussite et taxes pour les plus mauvais ? de même pour les municipalités, les administrations, les écoles...

Normalisation

Une 1ère étape dans l'établissement d'une normalisation de management environnemental pour les PME, la norme ISO 14000.
L'établissement d'une qualification par audit externe, l'élaboration et le respect des procédures représentent un coût non négligeable pour les PME, il est vraiment dommage que cela ne puisse pas être pris en charge. Déjà un accès libre à ces normes serait un minimum, on ne doit pas faire de l'écologie un produit commercial.
http://www.boutique.afnor.org/

vendredi 26 octobre 2007


Liens sur le sujet

Sur l'agriculture, et la crise alimentaire mondiale :
http://recherche-solidarite-sud.midiblogs.com/

Sites industriels sur les éoliennes
http://www.vergnet.fr/
http://www.windpower.org/fr/tour/wres/index.htm

Blog anti-voitures
http://carfree.free.fr/

Ekopedia
http://fr.ekopedia.org/Accueil

Toutes les nouveautés des constructeurs, voitures et cyclos hybrides à hydrogène électriques...
http://www.moteurnature.com/

Comment être indépendant du réseau de distribution de l'eau
http://www.eautarcie.com/

Le développement durable, explications...
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/developpement-durable/index.shtml

Le site du ministère sur le sujet
http://www.ledeveloppementdurable.fr/

L'association de Yann Arthus-Bertrand
http://www.goodplanet.org/

La construction d'une maison écologique
http://www.maisoneco.com/

Un exemple de réalisation
http://www.lamaisonecolo.com/index.htm

La décroissance, sites sur le sujet
http://www.decroissance.org/
http://www.decroissance.info/
http://www.ladecroissance.net/

Le ministère de l'écologie
http://160.92.130.69/article.php3?id_article=6491
Biens d’exportation et pollution atmosphérique en Chine
http://160.92.130.69/article.php3?id_article=6492

Le site officiel du Grenelle de l'environnement
http://www.legrenelle-environnement.fr/grenelle-environnement/spip.php

Présentation du blog

La croissance respectueuse d'une écologie logique.